Texte quasi identique à celui publié sous le titre "La seconde lettre du chevalier Georges à monsieur le Prince" à l'exception de p. 6, "quoy que toutes deux, & c'est une vérité connuë" qui remplace "que toutes deux ayent de la ialousie pour ce titre, il ne sçauroit legitimement appartenir à toutes deux & c'est une vérité cognuë".
D'après Hubert Carrier, auteur différent de celui de la "Lettre du chevalier Georges de Paris" ("La presse de la Fronde (1648) : les Mazarinades", I, Paris, 1989, p. 225).
Autres éditions publiées sous le titre "La seconde lettre du chevalier Georges à monsieur le Prince", compositions typographiques et graphies différentes : Paris, Jean Brunet, 1649 (BM01356, BM01358 et BM01359) ; publié également dans un recueil éditorial intitulé "Recueil de diverses pieces. Qui ont paru durant les mouvemens derniers de l'année 1649", 1650 (BM00059).
Variantes graphiques, notamment : p. de titre sans adresse ; p. 3, texte sur 24 l., pas de lettre initiale ornée, l. 9 "bonnes,", l. 11 "paroles", l. 17 "i'ay" ; p. 4, l. 8 "regarde", l. 18/19 "vostre/Altesse", réclame "gers" ; p. 5, l. 1 "du Roy", l. 20 "espouuentables" ; p. 6, l. 6 "peine de de lire de lire leur", l. 23 "n'est" ; p. 7, l. 3 "nom d'excecrable & de Tyran", l. 8 "Monsieur", l. 20/21 "com-/battans" ; p. [8], l. 7 "posimus", l. 9 "MONSEGNEVR".
Sig. a2, B2. Dernière p. chiffrée "7".
Bandeau (frise de fleurons) gravé sur bois au titre de départ.
Moreau2099.
