D'après Célestin Moreau, on a publié une réponse à ce récit, intitulée "La censure et l'antidote de quelques maximes très pernicieuses..." (BM01258).
D'après Hubert Carrier, texte paru début août 1652 (Bibliothèque Mazarine, Ms. 4682-5, f. 15v).
Sig. [ ]2, B2
Moreau2992.