Attribué à Paul Scarron par Hubert Carrier dans "Les Muses guerrières", Paris, 1996, p. 113, et dans "Un vent de fronde s'est levé ce matin : poésies diverses attribuées à Paul Scarron (1610-1660)", Paris, 2012, p. 33-44.
2 états : marque décorative différente sur la p. de titre, corbeille de fleurs à deux anses (état A) / corbeille de fleurs sans anse (état B) ; taille différente des caractères à l'adresse, de la lettre pour la signature du cahier C et de certaines capitales initiales de vers ; p. 8 l. 28, "Qu'aussi cela" / "Qu'aussicela".
Autres éditions signalées par Armand d'Artois et H.Carrier (Bibliothèque Mazarine, Ms 4682-4, f. 178v-179) : même adresse,12 p.in-8 ; suivant la copie imprimée à Paris chez Claude Huot, 1649, 12 p. in-4 (contrefaçon hollandaise) ; sans p. de titre, 8 p. in-4 ; publié à Rouen sous le titre "L'adieu de Mazarin. Burlesque" amputé de huit vers (BM00846).
Texte paru dans la 2e semaine de mars 1649 d'après H. Carrier.
Sig. [ ]2, B-C2
Marque décorative (corbeille de fleurs) sur la p. de titre, bandeau (frise de fleurons) au départ du texte, gravés sur bois.
Moreau2730.